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André
de Peretti
|Parcours
de vie |
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extrait de Itinéraires de lecture,
Perspectives documentaires en sciences de l'Education, n°17, 1989
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Ancien élève
de l'École Polytechnique, docteur ès-lettres et sciences humaines.
Ancien
directeur du département de psychosociologie de l'éducation à l'Institut
National de Recherche pédagogique, il est l'auteur de nombreuses œuvres
scientifiques (dont Risques et Chances de la vie collective,
Présence de Carl Rogers, Énergétique personnelle et sociale), des
œuvres pédagogiques (Pour l’honneur de l’école, pertinences en éducation,
Organiser des formations, Techniques pour communiquer, Encyclopédie de
l’évaluation en formation et en éducation) ; et enfin d'œuvres
littéraires, dont la Légende
du Chevalier
(pièce de théâtre jouée à la Comédie Française) et Naïves Ovations.
Il fut le responsable du rapport ministériel sur la formation des
enseignants en 1982 qui donna naissance aux MAFPEN puis plus tard aux IUFM.
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sur le site
DIVERSIFIER,
Quelques pages lui sont plus
particulièrement dédiées:

en 1985
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L'enfance: enracinement et
rupture
Ce qui a été important pour moi dans ma première enfance,
ce fut ma croissance au Maroc, à Rabat, jouant au jardin des Oudaïas, si
semblable à ceux de Grenade, mais aussi lisant de nombreux petits livres,
ainsi que bien sûr les oeuvres de Jules Verne et de la Comtesse de Ségur.
A la suite du divorce de mes parents, j'ai dû quitter le
Maroc à 11 ans pour aller vivre nostalgiquement, avec ma soeur aînée, chez
une grand'tante à Bordeaux. J'ai lu alors une histoire sentimentale sans
qualité particulière, qui m'a cependant donné une sorte de joie de vivre, un
sentiment d'acceptation, et la force de dire définitivement "oui" aux
contraintes de la vie. Puis, je suis allé poursuivre mes études auprès d'une
tante cantatrice, dans un milieu trés intellectuel, vivant, trés artiste. Le
philosophe Julien Benda venait souvent corriger ses épreuves chez nous. Ma
tante était liée d'autre part avec Charles Maurras et m'avait conduit, le
jour de ma première arrivée, vers 12 ans, à Paris, au bureau de l'Action
française !
A Abbeville, il y avait beaucoup de livres, tout Musset,
tout Lavisse, tout Proust, tout Maurras, et une vie intellectuelle trés
riche. Paradoxalement, ce qui m'a frappé, grâce à mon oncle, centralien, fut
un livre de mathématiques supérieures, mais trés simple, traduit de
l'américain. Il a été source de ma passion pour les mathématiques. Et j'ai
aussi été vivement influencé par deux ouvrages du géologue Pierre Termier:
la joie de connaître et A la gloire de la terre. Mais je ne
décrochais pas des autres aspects historiques et littéraires et j'avais déjà
le souci d'une certaine critique littéraire (Lanson, Thibaudet, Sainte Beuve).
Le détonateur de ma réflexion d'adolescent ce fut plus
tard, en Terminale, outre l'impact de Bergson, celui de Péguy. Pas seulement
pour sa poésie, mais aussi pour la fierté de ses positions dans Notre
jeunesse, puis la conjointe. Pour moi, le besoin de cohérence
entre l'action, la pensée, la vie et l'écrit, fut fondateur d'un certain
style de vie auquel j'ai essayé de rester fidèle.
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en 1935 |
Les années d'X
Pendant ma "taupe", j'entrais en relation avec des
écrivains et des poètes (je me souviens d'un ami de Gide, Henri Ghéon). Et
je découvrais Giono: surtout Que ma joie demeure qui me marquerait.
Entré à Polytechnique, je posais une question à notre prof de lettres,
médiéviste, Tuffrau: "Qu'est-ce que se cultiver ?" à laquelle il répondit:
"Si vous aimez un auteur, alors lisez le tout entier." Ce fut donc Paul
Claudel dont un professeur de français, en taupe (c'était Maurice Bardèche)
m'avait fait lire le Soulier de satin. Je me suis mis à le lire puis
je le rencontrais (il a noté notre première rencontre dans son journal). Je
fis aussi la connaissance d'autres grands écrivains. Toutes les trois
semaines, en effet, G. Marcel, à ma demande, réunissait des camarades de l'X
et de Normale Sup pour des rencontres avec des romanciers ou des auteurs en
vue: F. Mauriac, A Gide, Georges Duhamel, D. Rops, etc... L'influence de
Mauriac a été d'autant plus grande sur moi par toutes ses oeuvres que je
suivais également ses écrits dans Temps présent et d'autre part
j'adhérais à ses prises de position sur Guernica. Je fis enfin la
connaissance de Teillard de Chardin en 1939: je le reverrai ensuite en 1945,
puis en 1948 et en 1950. Et je lirai ses oeuvres sous forme ronéotypée en
attendant leur parution au Seuil après sa mort. Le mouvement des jeunes
Chrétiens (JEC) que je dirigeais, avec d'autres mouvements JOC et JAC, était alors en rupture complet avec la
droite catholique et cléricale. Nous voulions une autre structure du
pouvoir, de l'Etat, nous voulions la décolonisation et le développement de
la démocratie. La rencontre avec des membres de la revue Esprit se
fit dès 1936. Mais c'est après la guerre que Mounier fit paraître en avril
1947 mon article sur le Maroc "Prévenons la guerre d'Afrique du Nord:
l'indépendance marocaine et la France". Cet article fit beaucoup de bruit
(nous y reviendrons): il aurait pu avec mes engagements de l'époque me
coûtait la vie si mon père n'avait pas été un des leaders des Français du
Maroc qu'il avait représenté à l'Assemblée consultative d'Alger auprès du
Général de Gaulle.
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Février 1940 au village d'Omissy |
Les années de captivité
(1940-1945)
Après la Drôle de Guerre comme sous-lieutenant
d'artillerie dans la première armée, j'ai été fait prisonnier avec ma
Division à Dunkerque le 4 juin 1940. En arrivant dans mon premier camp, en
Silésie, l'Oflag IID, j'ai trouvé deux livres: un de Gide (je ne sais plus
lequel) et Le Grand Meaulnes. J'ai donc commencé le 10 juillet 1940,
un cours sur le roman et inauguré une première université à l'armée des
Camps. Étant à l'époque dans les plus jeunes, j'ai six fois changé de camp.
Dans le dernier camp, nous étions 10000 officiers, une concentration
d'intellectuels et un lieu de fermentation intense. J'y rencontrai Jean
Guitton.
En raison du cours de littérature que je faisais, je
multipliais mes lecture, en moyenne, un livre tous les trois jours: Paul
Valéry, Kierkegaard (dont j'aimais l'analyse des trois stades: esthétique,
éthique, spirituel, et la distinction entre l'ironie et l'humour), Péguy
encore, Stendhal, Anouilh, Montherlant et Claudel, entre autres. Je suivais
déjà mon tempérament avec un besoin de structures que je trouvais dans la
poésie, le théâtre et la philosophie (je me passionnais pour les oeuvres de
Sartre).
Je profitais aussi de mes lectures étrangères: anglaises
(notamment Charles Morgan, avec Fontaine et Sparkenbroke) mais
aussi scandinaves (Sigrid Undset) et américaines (Faulkner, Pearl Buck).
Les auteurs germaniques (Hegel, Schopenhauer, Keyserling,
Jünger, Gertrud von le Fort, Worringer) et surtout Nietzsche avec la
Naissance de la tragédie et Ainsi parlait Zarathoustra m'ont
marqué et permis de dégager une structure d'analyse des phénomènes de beauté
pour un cours d'esthétique. Je me donnais des définitions opératoires pour
les distinctions nietzchéennes, entre le phénomène apollinien (que je
situais comme effet de beauté obtenu en manifestation du dissemblable dans
la continuité) et le phénomène dyionisiaque (effet obtenu par la
manifestation du semblable dans la discontinuité). Les distinctions me
servirent pour ma propre production poétique et dramatique (inspirée autant
par Valéry et Mallarmé que par Péguy et Claudel).
L'importance de Nietzsche pour moi ne tenait pas seulement
à l'esthétique mais aussi à son rejet de toute limitation moralisatrice et
réductrice, à sa manière de décaper un vernis moralisant que je trouvais
étranger au christianisme (Camus me dirait plus tard que j'étais le second
catholique nietzschéen qu'il rencontrait.
Les influences espagnoles ont été aussi très importantes.
Je retentissais au Sentiment tragique de la vie avec Unamuno, ainsi
qu'au Schéma des crises avec Ortega y Grasset. Ce dernier me
permettait de voir où était la crise, qui intervient quand la culture ne
donne pas les moyens de comprendre la civilisation dans laquelle on est
placé.
L'influence russe, enfin (Dostoïewsky: je me suis senti
proche d'Aliocha dans Les frères Karamazov; Merejskowsky avec
Les mystères de l'Orient et surtout Berdiaeff pour le nouveau
Moyen-Age) fut renforcée en fin de captivité par la rencontre de Nicolas
Raiewsky, venu du monde orthodoxe. Ce contact vigoureux compléta les
influences juives et celles protestantes des groupes d'Oxford pour me
déterminer à une ouverture oecuménique étendue à mes amis athées et
franc-maçons en attendant mes amis musulmans.
Je lus également nombres d'ouvrages de la littérature
mystique ou spirituelle. Je plaiderai en 1945, à mon retour de captivité,
pour une reconnaissance par l'Eglise catholique de l'apport profond de
Martin Luther, en raison du quatrième centenaire de sa mort (1946): en fait,
l'hommage fut rendu en 1983 pour le cinquième centenaire de sa naissance.
J'avais pris date.
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André au 1er rang, à gauche, Oflag VI D Munster, vers
1943 |
Retour de captivité et
Enseignements
Dès le retour, je fis la connaissance d'Albert Camus, qui
m'accueillit avec amitié et que je revis souvent. J'approfondis la lecture
de ses oeuvres ainsi que celles de Kafka. Et je retrouvais Teilhard de
Chardin et ses oeuvres. Je connais également la brève amitié de Boris Vian.
Je me liais à Mounier.
Après un essai de formulation à un projet pour la réforme
de l'enseignement à Polytechnique entrepris avec Pierre Boulloche et mon
directeur général, celui-ci me confia, à titre expérimental, la charge d'un
enseignement de Psychologie et d'esthétique aux jeunes ingénieurs et cadres
des manufactures de l'Etat (parmi eux Albert Jacquard). Ces cours attirèrent
l'attention du Civil Service britannique.
A l'occasion des cours à préparer, je complétais mes
lectures (outre des stages réguliers en hôpitaux, comme assistant auprès de
"grands patrons" dont j'observais les démarches dans leurs relations aux
clients ou malades). Ce fut pour la psychologie, le retour à Freud, Jung,
Adler, Laforgue. Je me suis lié avec Charles Baudouin, qui sortait des
querelles de psychanalystes et montrait que chaque référent est important
(La sexualité chez Freud, la volonté chez Adler et les archétypes chez
Jung). Il avait écrit une Psychanalyse de l'Art et des études sur
Victor Hugo qui m'intéressaient au plus haut point, pour l'Anthropologie.
A l'occasion de séminaires organisés à Royaumont autour de
la revue Psyché, j'ai eu la chance de travailler avec Georges
Dumézil, André Berge ainsi que Charles Baudouin. J'éprouvais une véritable
passion pour les conceptions de Dumézil sur la tripartition du monde
indo-aryen et pour celles de Frobenius dans l'histoire de l'art africain
et surtout dans le destin des civilisations qu'un ami me procura
alors. Je fus également fortement influencé par l'œuvre de Mircéa Eliade. La
distinction entre des civilisations nomades et des civilisations
sédentaires, entre des civilisations de type indo-aryen, à chiffre 3,
"lunaires" (basées sur le temps découpé en passé, présent, devenir) et des
civilisations "solaires" à chiffre 4 (est, ouest, nord, sud) me procurait
des repères pour situer l'évolution des civilisations suivant leur dominante
de temps ou d'espace. J'étais très sensible au fait symbolique que nous
allions basculer d'un système du monde "lunaire" très pessimiste et
cloisonné (les guerres mondiales et coloniales) à système "solaire" plus
convivial mais aussi plus contrasté et soumis à des turbulences avec des
phénomènes aussi étonnants que la bombe atomique (pour les aspects négatifs)
mais en même temps les opérations "à cœur ouvert" (comme chez les Aztèques).
C'est l'époque également de grandes lectures sur l'Islam,
grâce à la rencontre de Louis Massignon avec qui nous avons créé en 1947 le
Comité Chrétien d'entente France-Islam.
Mon retour de captivité a correspondu aussi à un
engagement politique. Mes amis marocains me demandèrent de les aider à
obtenir leur décolonisation. Je fis paraître dans Esprit l'article
déjà mentionné et j'organisais des contacts entre les leaders marocains et
les cabinets ministériels français. Je fus nommé à l'Assemblée de l'Union
française et j'y nouais une solide amitié avec l'historien Charles-André
Julien et l'ethnologue Marcel Griaule ainsi qu'avec Alain Savary. Dans mes
activités, je reçus l'accueil de Robert Schuman et le soutien de Jean-Paul
Sartre et de Simone de Beauvoir. Je publiais chez Seghers mon Cantique
d'amour au Maroc. Je ferai partie de l'Assemblée de l'Union française
jusqu'en juillet 1952 et fonderai en juin 1953 avec François Mauriac et
Louis Massignon le Comité France-Maghreb.
A cette époque, je commis à écrire des poèmes qui ont été
publiés (Cantique d'amour au Maroc, éd. Seghers), ou mis en scène
avec des musiques composées surtout par Georges Delerue (Colloque au
chevet d'une Basilique à Lisieux, ainsi que le Jeu de l'Espérance,
joué pour les 25 ans de la JAC, au travers de la France, en plus de
cinquante représentations jouées ou mimées sur mon texte par 250 jeunes
acteurs en 1955.
au cours d'un colloque à Rabat (Maroc) en mars 1997 |
A la remise du prix Nobel à Jacques Monod, avec de
"jeunes fonctionnaires" de l'INAS
Spectable "Espérances" de la JAC, Rouen, 1955

en 1975 |
La
psychosociologie
Revenant à mon corps d'origine en 1952, je fus sollicité
par mon directeur général des Manufactures de l'Etat pour concevoir un
service de relations humaines pour les 15 000 agents du service. Je me
tournais alors vers la CEGOS, où je me liais profondément avec Max Pagès,
qui avait été étudiant de Carl Rogers. Grâce à lui, commencèrent alors les
échanges et l'amitié avec Carl dont je lus toute l'œuvre, et que je
contribuais à faire connaître en France. Je me passionnais en même temps
pour les oeuvres de Moreno et de Kurt Lewin dont une traduction des
principaux textes, contestée, sous le titre de Psychologie dynamique
était publiée en France en 1959. A l'intérieur de ce livre, un chapitre,
essentiel pour moi, sur les modes de pensée galiléen et aristotélicien en
psychologie rejoignait mes manières de concevoir les tensions dialectiques
entre apollinien- dionysiaque, masculin - féminin, solaire - lunaire. Cette
pensée non aristotélicienne, je la retrouvais aussi chez Bachelard, dont
l'eau et le rêve venait de sortir chez Corti, et surtout dans la
philosophie du non.
J'ai arrêté en 1964 un enseignement de lettres et de
philosophie en mathématiques spéciales que j'avais exercé depuis 1951, pour
avoir le temps d'écrire et de publier: Liberté et relations humaines
paru en 1966, sur le problème de la Relation dans l'éclairage rogérien,
morénien, et même lewinien; puis en 1968, ce fut L'administration,
phénomène humain, où je commençais à aborder ce que je développerai plus
tard dans ma thèse Du changement à l'inertie en 1981. Le concept
d'énergie sur lequel Teilhard de Chardin puis Norbert Wiener m'avaient
alerté, me permettait d'analyser, d'une part les structures sociales et
institutionnelles comme accumulateurs et matelas d'énergies motrices et
informationnelles, potentielles et actuelles, et d'autre part les structures
fines de la personnalité comme stabilisation des échanges énergétiques entre
les personnes, rendue possible par la médiation et la protection des
structures sociales. Et j'utilisais le concept d'inertie pour désigner les
risques permanents de rigidité et d'absolutisation dans les structures ou
les conceptions: bureaucraties ou idéologies.
Contrairement à d'autres psycho-sociologues, je ne suis
pas idéologiquement hostile aux institutions. Je cherche à comprendre leur
fonctionnement, je cherche à aider leurs acteurs à comprendre leur
fonctionnement. à les faire évoluer dans leur propre voie et dans leur
vérité, en les dégageant de leurs super-structures inutiles et des
entraînements d'inertie. C'est ce que j'expérimentais de 1952 à 1963 dans
des fonctions de responsable des relations humaines et de l'information au
SEITA (devenu depuis lors la SEITA), mais aussi comme directeur adjoint
d'une usine de 400 personnes à Pantin, de 1955 à 1957, où mon ami Michel
Crozier observa mes conduites "anti-bureaucratiques".
Avec Lewin, j'obtenais dans la dynamique de groupe, la
confirmation qu'un groupe n'est pas nécessairement un rassemblement
d'individus identiques sur une variable quelconque, mais au contraire plus
généralement et plus opératoirement peut-être un rassemblement de personnes
différentes et cependant inter-dépendantes dans la poursuite de leurs
objectifs individuels.
Cette définition, la plus générale et la plus puissante
qu'on ait pu donner d'un groupe, est le refus de ce que j'ai appelé le
"mythe identitaire": elle apporte une conception contraire au mythe
indo-aryen. Car le piège indo-aryen repose sur l'idée que deux êtres A et B
sont ou radicalement identiques ou radicalement différents. S'il y a
différence, alors apparaît l'idée d'une exclusion totale, d'une séparation,
et donc d'un ordre pur, d'une supériorité et d'une infériorité absolutisée
etc...
Le refus d'une logique de cloisonnement dans les rapports
humains s'est encore alimenté pour moi aux lectures plus récentes de
scientifiques et d'épistémologues. Des auteurs tels que Prigogine (La
nouvelle alliance), Michel Serres (Les cinq sens), Henri Atlan (Entre
le cristal et la fumée, A tort et à raison), Bertrand d'Espagnat (A
la recherche du réel, Une incertaine réalité), m'ont invité à penser les
phénomènes dans leur diversité, dans l'incertitude aux carrefours des
disciplines, sans crainte des moments de rupture ou de "catastrophes" (cf.
René Thom). Il fallait intervenir en profondeur pour accroître les rapports
sociaux et les interactions entre les personnes.
avec une équipe d'enseignants du lycée Honoré de Balzac
de Paris, suivie pendant plusieurs années, ici en 1997
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professeur de lettres et phlo en préparation à l' X,
1955
Remise de la Légion d'Honneur en 1962, par le dir. gl
Germanelli de la SEITA

en 1980
avec l'équipe d'enseignants du lycée Camille Sée de
Colmar en 1996
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Bibliographie |
en 2004 avec des élèves-médiateurs d'un collège à La
Défense

avec Albert Jacquart et Pierres Anglas, au colloque
international "Comos et philosophie",
à Albi, Ecole des Mines, 1995

A l'occasion des 80 ans, avec la rectrice de l'académie
de Paris, Mme Gendreaux-Massaloux, en 1996

en 1999, en Grèce |
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Interview en
complément
Au moment des réformes multiples (fin des années
1990) qui parcourent le système éducatif, André de PERETTI nous avait
consacré un petit détour...
avec Jacky Simon, IGEN, médiateur de la République
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