Amplifier
la différenciation en pédagogie
L’analyse des réponses à l’enquête sur
les pratiques révèle que le domaine de la différenciation pédagogique est
celui le plus souvent mentionné, sollicité, questionné ; confirmation de
l’hypothèse de recherche dans une situation diversifiée à l’extrême telle que
peut l’être la classe multi-niveaux.
Il est cependant utile de rappeler ce que peut
être, par essence, toute classe, en présentant cinq caractéristiques
à la fois :
MULTIDIMENSIONNALITE |
très nombreux
événements et tâches qui peuvent parfois être prévus, avec de multiples
conséquences |
SIMULTANEITE |
certains de
ces événements peuvent se produire en même temps (travail en petits
groupes) |
IMMEDIATETE |
le rythme de
ces événements peut être rapide |
IMPREDICTIBILITE |
des
événements peuvent être imprévus |
NON-CONFIDENTIALITE |
les
événements peuvent être vus de nombreux témoins, les classes étant
publiques |
HISTOIRE |
la classe
accumule le souvenir de ces événements |
Des « gestes » de l’enseignant
« Nous choisirions le dessin d’un enseignant à
3 visages : l’un qui fait une leçon au tableau, l’autre qui explique quelque
chose à un élève et le dernier corrigeant un cahier.
Le personnage de cette illustration suggère la
multiplicité des tâches que l’enseignant gère simultanément.
Dans une classe à plusieurs cours, l’enseignant doit faire face à un double
impératif :
-
écarts de niveau entre les élèves d’un même cours
-
différences des contenus d’apprentissage entre les cours »
« Le maître explique, discute ou
corrige avec l’un ou plusieurs de ces groupes. »
« Il s’agit d’un travail sans relâche où
l’enseignement est perpétuellement en mouvement, en train de jongler
avec les deux niveaux : lorsqu’un niveau est sur un travail en autonomie, il
faut s’occuper de l’autre niveau. »
« Une moitié de classe (un niveau) travaille en
autonomie, l’autre avec le maître. »
« Le groupe en autonomie est divisé en petits
groupes de besoins. Chaque petit groupe a une tâche adaptée sur
un même thème (recherche, re médiation, systématisation, approfondissement …)
et peut s’organiser des petits moments de mise en commun, en chuchotant
… Il leur sera demandé un compte rendu de leur travail (écrit au maître
ou oral devant la classe). Un élève peut se lever pour rechercher des
informations parmi les outils mis à leur disposition dans la classe. »
« Pendant ce temps, le maître est avec les
enfants de l’autre niveau en phase de mise en commun collective d’hypothèses
de résolution d’une situation problème.(Moment où la présence du maître est
indispensable) »
« Il n’y a bien sur aucun bavardage toléré (on
« chuchote utile » dans le groupe en autonomie) pour garder une ambiance
propice au travail et à la réflexion. »
¢
Une table de réfectoire, des plateaux-repas standard
distribués à chacun avec un menu différencié. |
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¢
La robe de la femme du baiser de Klimt
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« de nombreuses
formes géométriques (spirales, rectangles, ronds, etc.), différentes et
harmonieuses, orientées dans la même direction ascensionnelle et qui forment
un ensemble dynamique, constructif et enrichissant. La teinte est lumineuse,
gaie, chaleureuse et rassurante » |
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¢
Des ronds dans l’eau
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« Lorsqu’au lieu
de penser en terme de programmes, on pense en terme de langages, la classe
unique apparaît comme un milieu où chaque langage (oral, écrit,
mathématique, historique, scientifique) est utilisé dans tous les niveaux de
complexité ; Chacun développe son propre mode d’accès, sa propre
construction et sa propre utilisation sans que celles-ci soient cadrées ou
limitées. Par exemple, les plus jeunes rentrent dans un contexte où l’écrit
est naturellement utilisé par d’autres, lorsqu’ils s’approprient
progressivement ce langage, il leur permet simplement de s’intégrer dans des
utilisations déjà existantes. On ne dira pas qu’ils sont « tirés vers le
haut », mais simplement que chacun étend ses cercles au fur et à mesure
qu’il en a les moyens, ce qui est grandement facilité par le fait que les
langages qui sont au-delà de son cercle sont déjà utilisés par d’autres. » |
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« Meilleure gestion de la différence des
élèves au sein d’un même cours »
« Il est difficile de tout différencier quand
on est occupé ailleurs. »
Une difficile « individualisation » des parcours
« Dans une classe de MS, GS, CP, CE1, comment
faire pour que les petits évoluent dans leur sphère sans pour autant perturber
le travail des grands ? »
« La difficulté à gérer en plus des différents
niveaux la différence dans le rythme de travail de chacun »
« Un enfant ne s’intègre pas.
Il y a trop peu d’élèves pour qu’il puisse trouver le ou les camarades qui
vont lui convenir dans son niveau. Les autres sont trop grands ou trop
petits. »
« Élève seul dans le niveau le plus
élevé : il ne peut avoir une confrontation de ses résultats qu’avec le
maître. »
« Les petits groupes d’élèves empêchent
« le travail de groupes. Cela implique une pédagogie adaptée. »
Le problème de l’enseignement par cycle
« Comment s’organiser pour une leçon avec 2 ou
3 niveaux très différents dans la même année du cycle ? »
« Rythme à 3 niveaux + rythme dans chaque
niveau qui est très disparate. »
« Comment différencier le travail CM1/CM2 et
ne pas faire deux années de suite la même chose alors que les
programmes sont si proches ? »
Des questions relatives à la différence de degré d’autonomie
« Au début de l’année scolaire les enfants
n’ont pas acquis les consignes de travail et sont très demandeurs
d’explication, ce qui perturbe le travail avec l’autre niveau qui a besoin de
ma présence. »
Des problèmes d’habitudes scolaires héritées
« En début d’année ou en cours d’année, mise en
route du système « à tiroirs » (appellation du système utilisé en classe
unique) pouvant s’avérer délicate pour certains élèves concernant les
activités menées en parallèle (enseignement direct / enseignement à
distance CNED) : nouveaux élèves provenant de France ou arrivés en cours
d’année (CNED ou enseignement direct) : Possibilité de rejet des
nouveaux élèves arrivant en début ou en cours d’année et confrontés à des
groupes déjà formés »
« Comment préparer les élèves à se
réinsérer dans des classes à simple ou double niveau, alors qu´ils ont
pris l´habitude, de par le nombre réduit de l´effectif par classe d´âge,
d´avoir un enseignement plus adapté à leur rythme ? Cette question se pose
particulièrement pour les élèves de CM2 qui doivent rentrer en collège. »
Une difficulté liée aux contenus d’enseignement
« La découverte ou l’explicitation d’une
notion nouvelle ou importante est parfois perturbée par la « pollution »
(sollicitations diverses) des autres niveaux. »
« Manque de temps pour approfondir avec
un niveau (remédier ou aller plus loin). »
La confrontation avec des « «élèves en difficulté »
« Gérer les différences dans un niveau alors
qu’il y a déjà trois niveaux. Que faire d’un élève trop rapide ou
trop lent ? Ou d’un élève plus faible ou plus fort ? »
« Une des élèves de CP tend à s’effacer
face aux CE1 lorsqu’il s’agit de commenter la lecture, alors qu’elle est
particulièrement à l’aise à l’oral lorsqu’elle est en binôme »
« La prise en compte d’un élève en
difficulté est plus délicate dans un cours à niveau multiple. Cet élève
représente souvent un niveau supplémentaire à gérer. »
« Reconnaître des difficultés spécifiques,
pouvoir les définir et apporter des solutions internes ou nécessitant l’avis
de spécialistes (dyslexie, orthophonistes) »
« Quand un élève d’un niveau a de grosses
difficultés au sein de son propre niveau, il m’est souvent très difficile
de m’occuper de lui car mon temps est déjà partagé entre les deux niveaux de
la classe. »
« L’accueil et la prise en charge d’élèves
non-francophones »
« Comment empêcher certains élèves un peu
rêveurs d’écouter l’activité proposée à l’autre groupe, alors qu’ils sont
en travail autonome ? »
Un travail sur le temps et son organisation
« La gestion du temps », « La gestion du temps
est d’autant plus difficile qu’elle est, au moins, double. »
« Matérialisation du temps passé avec
chacun des niveaux, afin d’apprendre aux CP à acquérir davantage d’autonomie »
« Concilier organisation pédagogique en
ateliers en GS et emploi du temps de CP »
« L’alternance entre les moments en
autonomie et les situations avec la maîtresse, d’apprentissage
« un meilleur équilibre du temps
dispensé pour chaque niveau. »
« Quel équilibre donner au niveau du temps
accordé et de la disponibilité entre des élèves non lecteurs et des élèves en
fin de cycle 3 ou entre des élèves en difficulté et des élèves plus à
l´aise ? »
« L’organisation de l’emploi du temps.
Il faut établir (surtout au début) les activités à la minute près pour qu’un
travail interactif entre le maître et les élèves d’un même niveau soit
effectué en parallèle d’un travail en autonomie pour les enfants d’un autre
niveau. »
Un travail sur l’espace aussi
« Il est nécessaire d’avoir suffisamment
d’espace pour pouvoir séparer « géographiquement » les deux groupes de
niveaux. »
« Deux tableaux sont nécessaires
également pour ne pas troubler l’attention de l’autre groupe. »
« Lorsque l’on travaille tous ensemble sur
une même matière et un même sujet, mais avec un niveau de difficulté différent
et que la mise en commun se fait dans l’écoute de chacun. C’est surtout
possible en sciences où la mise en commun est comprise par tous. »
« Il faut savoir définir les
groupes de besoin et proposer à chacun un travail différencié pour
ne pas mettre la majorité des élèves, soit en surcharge cognitive, soit en
situation de non apprentissage. (Cela demande un énorme travail de
préparation…) »
« Dans ma classe, les élèves sont répartis par groupe de niveau
de lecture. Chaque groupe s’est choisi un nom et une partie du travail est
différenciée en fonction de leur capacité de lecture compréhension. Les
groupes ne sont pas figés pour toute l’année et des élèves peuvent
changer de groupe en fonction de leurs progrès. »
« la distribution des tâches individuelles à
accomplir (« contrats quotidiens ») par chaque élève, sous la forme
d’enveloppes individuelles différenciées »
« Les décloisonnements après
regroupement par cycle peuvent être aussi des solutions simples et
efficaces pour l’enseignement des arts plastiques, du sport ou de la
musique. »
« Activités différenciées (maternelle –
primaire – collège) dans la gestion hebdomadaire du site Internet de l’école,
dont des mises à jour effectuées par des élèves de collège sous l’autorité des
enseignants (rédaction de texte sous la dictée pour les plus petits ;
création d’écrits et illustrations pour les élèves de primaire avec saisie
éventuelle sous Word ; rédaction d’écrits, recherche sur l’Internet ou
numérisation d’images, saisie sous Word et mise en page sous FrontPage) »
« Apprentissage de la flûte à bec dans le
même créneau horaire avec des moments collectifs et différenciés,
prenant en compte les niveaux de chacun (primaire cycle 3 – collège) »
« Le spectacle de fin d´année de l´année
passée. Il s´agissait d´une pièce de
théâtre en espagnol. Les grands, plus réservés, jouaient le rôle des
narrateurs, les CP et CE1 étant acteurs. La préparation des décors s´est faite
collectivement. Chacun s´est investi dans son rôle, les plus grands aidant
également à la « mise en scène ».
« Moments de travail en groupe
où l’enseignant peut se consacrer à quelques élèves. »
« L’aide aux enfants en difficulté :
lorsque le groupe est peu nombreux, le temps consacré aux élèves en
difficulté est beaucoup plus important. Ces interventions sont d’autant
plus efficaces qu’elles sont renforcées par l’aide des autres élèves
qui leur apportent leur propre compréhension de la situation qu’ils maîtrisent
mal. »
Une même
classe pour tous,
Citron, Pascaline .- p.6-7 .- JDI, 99/00-02.- 10/1999.
Expériences d'une classe unique
dans un petit village vivicole. Difficultés et joies de la
classe
unique.
Les nouveaux Robinson Crusoé,
Dupuis Jérôme .- p.6-7 .- JDI, 99/00-07.- 03/2000.
Fonctionnement d'une école sur l'île de Port-Cros (Var) qui vit en
quasi-autarcie.
L'école rurale ...
rassemblement ou différenciation ?,
Calvi, Jean-Michel .- p.68-70 .- JDI, 98/99-07.- 03/1999.
L'école rurale, de par son hétérogénéité forçée, constitue un
formidable laboratoire de
recherche sur les pédagogies de
la différenciation. La création de réseaux, soit physiques, soit
virtuels est une autre possibilité.
Ecole des neiges,
Dupuis Jérôme .- p.6-7 .- JDI, 99/00-10.- 06/2000.
Enseigner dans l' école d'un petit village de montagne, c'est
travailler dans des conditions
exceptionnelles et acquérir l'expérience de la
classe unique. Malgré cela, peu
d'enseignants veulent venir travailler dans ces villages isolés.
le « contrôleur aérien » :
réguler le trafic d’itinéraires tous différents et tous importants dans un temps
très court.
L'hétérogénéité peut si elle est
intégrée à notre pratique être vue comme un plus.
Voir à ce propos la présentation
http://www.prepaclasse.net/presentation/D1_fichiers/frame.htm#slide0001.htm
et la fiche sur la différenciation
http://www.prepaclasse.net/fichiers/differenciation.html
Il est tout à fait possible de
concevoir pour nombre de séances des départs collectifs avant séparation en
ateliers :
- en lecture : écoute de l'histoire
pour tous, celle-ci sera retravaillée dans un deuxième temps… au fil de l'année
progressivement, les ce1 liront des extraits qu'ils ont aimé à la classe…
Les jeux sur les sons peuvent être
partagés à l'oral , approfondis ensuite selon les compétences…
- en expression écrite : la dictée à l'adulte peut impliquer tous les élèves
chacun apportant ses connaissances… les uns proposant juste la structure, les
autres réfléchissant aux mots… et l'on peut même envisager des ateliers
d'écriture rassemblant des élèves " écriveurs " avec des élèves qui apprennent…
Les uns demandent des comptes aux autres, les petits se faisant expliquer, les
grands ayant à cœur de reprendre les plus jeunes …
- en arts visuels, en musique… en éducation physique on peut tous travailler
ensemble
- en découverte du monde, si le travail sera différencié dans un deuxième temps,
les situations problèmes scientifiques pourront être partagées…tout comme le
"lire, dire, écrire" dans ces disciplines.
Mettre en place progressivement des programmes personnalisés où les
élèves choisissent leurs tâches dans une banque d'exercices en fonction des
compétences à travailler .
Face à l’hétérogénéité des enfants,
la classe multi-âges (Philippe LAMY - 2003)
Extrait de
http://www.prepaclasse.net/fichiers/ateliers.html
Trop souvent, la forme de travail
domine alors le fond.
Comme en élémentaire rien n'oblige à s'imposer comme modèle de fonctionnement
systématique le " grand groupe en frontal ", la maternelle n'est pas astreinte à
l'usage figé et systématique d'une forme d'ateliers.
Le fonctionnement choisi doit
répondre à un besoin : celui de l'activité des élèves.
C'est parce que j'ai un programme d'activités que je définis la modalité de
fonctionnement la mieux adaptée.
La modalité de fonctionnement
suppose aussi une réflexion sur :
- les lieux choisis
- l'alternance des activités et des domaines
- les modalités de passage des consignes (place de l'oral, de l'écrit…)
- les modalités de constitution des groupes et la gestion de leur répartition
- l'organisation du " retour " des groupes vers le grand groupe (gestion du
temps - durée de l'activité- , du " signal " favorisant le retour, " retour "
par témoignage, échange, évaluation explicitations immédiates ou différées de
ce qui a été fait dans les ateliers)
Différents fonctionnements possibles
Plusieurs modalités existent à
choisir en fonction des besoins :
- le modèle est souvent " unité
pédagogique " avec présence rapprochée de l'enseignante et ateliers "
satellites "
- dans certains cas, l'asem peut
être présente sur un atelier supplémentaire : elle apporte une aide "
technique " ou assure la protection matérielle, l'aide à un geste " technique
" et non la gestion d'un atelier de résolution de problème…
- activités satellites " tournantes
" au libre choix des élèves
avec gestion éventuelle d'un
tableau à double entrée. Les élèves qui sont en unité pédagogique restent avec
l'enseignant, les autres tournent librement sur des ateliers qui n'impliquent
pas un travail cognitif lourd : entraînement, jeux mathématiques, lectures
autonomes, ou confrontation de type " mise en situation " face à un nouveau
matériau, un nouveau jeu etc.
- activités satellites mais sans
libre choix de l'élève :
son " parcours " est prévu. On peut parfois imaginer un parcours en éducation
physique (après les tapis je vais à la poutre..) mais aussi en graphisme
(petites situations progressives)…
- activités " reliées " autour d'un
projet commun avec " partage des tâches "
: par exemple, pour un projet de livre les uns sont sur les illustrations, les
autres la mise en page d'un texte, les autres la page de titre… on est ici
dans un fonctionnement coopératif où toute la classe se tourne vers un projet
commun.
- On peut par exemple en sciences
avoir un ateliers " plantations " dirigé par la maîtresse, un atelier "
représentation " où les élèves dessinent la pousse des plantes, un autre où
ils classent des photographies, un autre où ils étudient des documents "
scientifiques "… le thème est partagé et décliné.
- activités " individualisées " avec pourquoi pas des groupes de " besoin "
s'adressant à des enfants ayant besoin d'une aide, ou témoignant de
compétences particulières…
- une seule activité partagée entre
tous les élèves : ce
peut être un projet collectif ou une activité suivant par exemple la
découverte d'un album (restituer une histoire entendue par le dessin ou le
classement d'images)
- activités décloisonnées :
ce sont des ateliers partagés avec d'autres classes. Les élèves rencontrent
des enfants d'autres âges, d'autres adultes intervenants pour des projets
filés en général dans le temps .
Le retour des ateliers doit faire l'objet d'un vrai
travail :
- il ne s'agit pas seulement de
faire valider par l'enseignant mais d'être capable d'expliciter les
stratégies, les réussites comme les difficultés.
- On peut afficher ou comparer des travaux, on peut noter au tableau une
remarque, une idée, une question, une observation en vue d'une exploitation
ultérieure
La plupart des classes ont un "
signal " de regroupement : une comptine, un chant, une musique
Un atelier régulier de " collage "
ou de " rangement " peut
permettre de suivre avec les élèves la gestion des cahiers et des diverses
productions écrites.
En savoir plus sur les types de regroupements possibles :
http ;//diversifier.fr.fm et chercher groupements
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