Pourtant, il n’est ni spontané, ni facile d’écouter réellement. A l’école, nous apprenons à lire, écrire, compter, rarement à écouter…

Les gens qui n’écoutent pas ont beaucoup de mal à se faire entendre

 ECOUTER, c’est d’abord renoncer à :

-         parler

-         se justifier

-         convaincre

-         répondre

 Il n’y a pas de communication simultanée, seulement une communication alternée.

-         ce qui est dit n’est pas ce qui est entendu

-         ce que l’on veut dire n’est pas ce que l’on dit

-         les mots n’expriment qu’une partie du message

-         le langage ne peut pas tout dire

-         le message porte plusieurs sens : l’écoute d’un de ces sens n’élimine pas les autres

Les claviers de l’écoute :

Chacun d’entre nous privilégie une ou plusieurs zones dans son écoute et par là même dans son expression.

 Certains vont être accordés davantage sur la logique et le rationnel, d’autres sur l’émotionnel et l’irrationnel. Ces différences de niveaux vont freiner la communication dans de nombreux cas.

 Chacun d’entre nous s’exprime sur des tonalités privilégiées où nous souhaitons être reçus, entendus.

Si ma dominante dans cet échange est affective, émotionnelle, je veux etre reçu dans cette tonalité là et si l’autre me répond par des références théoriques ou philosophiques, je ne me sens pas entendu, ni compris.