Livre d'or  | quelques traces sur le livre
Recherche et formation, INRP, n°57, 2008, p.158

 

Voici un petit livre destiné aux enseignants, mais aussi aux formateurs d'enseignants. Entre trente brefs chapitres, il raconte des histoires, qui sous une forme d'image, allégories, de métaphores, de paraboles, permettent d'aborder de biais, souvent avec humour, des questions vives de l'école sans recourir à l'arsenal théorique des modélisations conceptuelles écrasantes, inutilisables. Selon son tempérament ou son humeur du moment, le lecteur sera enchanté ou agacé, réjoui ou irrité par ce registre d'écriture et les "leçons" que les auteurs bardés de leur longue expérience du monde scolaire ne manquent pas de donner à la fin de chaque fable, comme le veut le genre depuis Esope, via La Fontaine.(...)

La gageure de ce petit livre est de conjuguer le réalisme responsable sans lequel est impossible d'exercer des fonctions institutionnelles, avec un certain degré d'impertinence ou d'humour. On peut assumer un statut et un rôle sans y adhérer aveuglément en cherchant au contraire à révéler "l'espace de jeu" qui permet aux acteurs de l'éducation, à tous les niveaux, de ne jamais être de simples exécutants, contraints par l'autorité hiérarchique, l'absurdité des décisions bureaucratiques, les dérives inévitables ou les effets pervers des décisions les mieux intentionnées.

(...)Rien n'oblige le lecteur à suivre un parcours de lecture linéaire. Il est au contraire invité à butiner à sa guise, en fonction des échos que les thèmes réveilleront en lui. Ce que l'on devine, c'et que bien de ces fictions pourraient être lues comme des mini-romans à clé, et que les deux auteurs auraient sans doute beaucoup à raconter "en voix off" sur les situations réelles, sur les décisions politiques ou les commissions ministérielles auxquelles s'appliquent plus précisément certaines d'entre elles. D'autres renvoient plus banalement à l'ordinaire de la vie scolaire (....)


Anne-Marie Chartier - INRP SHE

Extrait du "bulletin d'échanges et de formation continuée des professeurs de français", n°11, sept. 2006
 

UN LIVRE A OFFRIR AUX ENSEIGNANTS

Contes et fables pour l'enseignant moderne, approches analogiques en éducation,
André de Peretti et François Muller, Paris, Hachette Education, coll. "profession enseignant", 2006, 224 p.

A l'époque où je dirigeais une institution scolaire, j'avais l'habitude d'offrir un livre tous les ans, à  Noël, à chacun des enseignants.

Trouver l'ouvrage adéquat n'était pas facile. Je cherchais quelque chose qui fasse réfléchir et qui soit porteur de valeurs, à l'écriture agréable, et si possible, consacré à une question éducative.

Si j'avais aujourd'hui pareil cadeau à faire, je n'hésiterai pas: le livre CONTES ET FABLES d'André de Peretti et de François Muller, rencontre tous ces critères ! Original, instructif, réflexif et plein d'humour, cet ouvrage est une invitation à pense, à nouveaux frais, toute une série de problèmes pédagogiques: l'évaluation, les compétences, l'organisation des groupes, les objectifs pour ne citer que quelques exemples.

Mais, outre l'intérêt et l'importance des questions traitées, c'est la méthode utilisée pour les aborder qui séduit le plus le lecteur. Chaque thème, il y a en a trente, est introduit par un récit, soit par un conte, soit une fable, certains connus, mais, pour la plupart, inédits. C'est ainsi que l'on découvre la "parabole des porcs-épics", celle du "cheval et de la poutre", "la louve et l'enfant", ou encore "Perceval ou la bureaucratie du temps perdu" et "historiette érudite sur le changement en éducation."

Ou encore le mythe d'Oedipe et du Sphinx alertant sur les risque d'intertie et d'enfermement dans les institutions.
Chacun de ces récits, donc, traite de pédagogie. Donnons un exemple:

Le récit intitulé "apologue de la forêt" sert de point de départ à une réflexion sur la mise en oeuvre des programmes. Il s'agit d'opposer deux types d'équipement pour s'aventurer dans une forêt inconnue: l'une vise en vain à l'exhaustivité jusqu'à prévoir un ouvrage médical, pour parer en toute éventualité en cas de fracture malencontreuse provoquée par une racine d'arbre mal placée. Puis un dictionnaire pour comprendre les termes médicaux de l'ouvrage, puis un dictionnaire tout court pour comprendre le dictionnaire médical. L'autre équipement comprend essentiellement une carte et une boussole;  une réflexion s'engage alors sur la nature d'un programme scolaire toujours tenté par l'encyclopédisme et la standardisation.

Un autre récit, celui de la Mésange couturière, illustrant les périls de l'excellence en excès. Cet oiseau prend un soin tellement immodéré à préparer son nid qu'il n'y loge jamais, évoque la multiplicité des réformes pédagogiques qui occupent tellement les enseignants qu'elles en viendraient à les empêcher d'enseigner.

Mais il ne faut pas s'y tromper. Si ce livre se laisse lire trés agréablement, il n'en est pas moins d'une grande technicité. Ses auteurs, pédagogues renommés, font preuve d'une compétence de haut vol; rigueur scientifique et simplicité s'y conjuguent. Cet ouvrage est un trés beau cadeau pour les enseignants.

Jean-Paul LAURENT

 
http://www.weblettres.net/lecture/

notes de lecture

 

Avouons-le, après trente ans (et un peu plus) de pratique, l’auteur de ce billet n’a qu’une passion modérée (c’est un euphémisme) pour les ouvrages de pédagogie. Il les trouve le plus souvent inutiles (c’est peut-être une litote). C’est pourquoi il leur préfère les contes et d’abord les contes d’animaux. C’est en traquant cette sorte de textes sur Internet qu’il est tombé par hasard sur les Contes et fables pour l'enseignant moderne d’André de Peretti et François Muller.
Des animaux il y en a, et des plus singuliers, dans ce qui s’avère être un ouvrage destiné à tous les enseignants.
Du colibri au cheval – en passant par le porc-épic, Hokusai, Œdipe, les deux nigauds (quand on vous disait qu’il y a de drôles d’animaux), le limaçon et même une écluse – sont abordés les problèmes les plus divers. En procédant par analogie (ils le revendiquent), les auteurs nous poussent à réfléchir sans moralisme ni dogmatisme à nos pratiques : rapport avec les élèves, hétérogénéité des classes, hiérarchie, objectifs, la liste est longue.

On ne saurait trop recommander, par exemple, le chapitre sur la notation et l’évaluation (l’animal convoqué est le mètre-étalon qui nous conduit au « maître-étalon » !).
« L'axiome intouchable ? Tout se passe dans l'imaginaire scolaire habituel comme si l'acte évaluateur était réputé absolu, intouchable, sacré et ne pouvant être discuté. C'est très net à l'université. Ce besoin de sécurité républicaine et d'authenticité affirmée aboutit à l'idée que, quand un enseignant note, n'importe quel autre enseignant en n'importe quel lieu et n'importe quelle circonstance aurait appliqué rigoureusement la même notation. Une copie quelconque présentée en un lieu quelconque permettrait automatiquement à tout enseignant de mettre exactement la même note. La croyance ici centrale, c'est bien l'idée qu'il y a, comme toujours en France, législatrice universelle, un modèle unique d'enseignant qui serait déposé dans un lieu de référence universel auprès du “mètre étalon”. C'est bien le sous-entendu du “maître étalon” universel ! » (page 78)
Même l’évaluation des enseignants est abordée avec tous les problèmes qu’elle pose. On a d’ailleurs eu une pensée émue pour Le Petit Livre rouge des écoliers et des lycéens, (horresco referens), paru en 1971 et aussitôt interdit. L’analyse des pratiques docimologiques nous avait bien réjouis.

On en prend, on peut en laisser, on ne reste jamais indifférent.
Avec son « pour l’enseignant moderne » le titre vous a un côté début de siècle (le XXe évidemment !) et cela montre assez l’humour des auteurs qu’on retrouve à chaque page, alors que l’information donnée est des plus sérieuses et qu’on y apprend bien des détails, et pas seulement sur le colibri. Ce sont bien les enseignants du XXIe siècle qui sont visés ici.

Les auteurs n’hésitent pas à renvoyer à de nombreux sites sur Internet pour que l’exploration, la réflexion s’élargissent encore.

Plusieurs passages du livre sont abondamment cités à l’adresse
http://francois.muller.free.fr/contes/index.htm
On y trouvera aussi une présentation des auteurs :
– André de Peretti qui est à l’origine des MAFPEN et des IUFM. Mais est-il besoin de le présenter ?
– François Muller, agrégé de grammaire et auteur du salutaire Manuel de survie à l’usage de l’enseignant paru aux éditions de l’Étudiant en 2005

 

Roger Berthet, 18 novembre 2006
LETTRES.ORG, le site de référence des enseignants de lettres (cf. weblettres.net)

 

Les ouvrages de pédagogie sont parfois confus, souvent ardus et dans la majorité des cas théoriques et abstraits. Contes et fables pour l'enseignant moderne, à l'inverse, fait le pari de s'appuyer sur des fables, contes et récits divers pour illustrer et imager les propos. « De même que l'élève a besoin d'avoir son attention et sa mémorisation stimuléees par de l'image pour apprendre, l'enseignant a besoin de réfléchir d'une manière imagée, et non pas simplement abstraite, à la complexité de sa pratique. » indique fort justement la quatrième de couverture.

Faisant le pari de solliciter la pensée analogique, les auteurs ont trouvé là une démarche pour le moins originale. Ils nous livrent donc, au final, un livre fort utile permettant aux enseignants et formateurs d'interroger leurs pratiques et de mener une réflexion pertinente sur celles-ci. Enfin un ouvrage pédagogique plaisant à lire !

http://www.lettres.org/contesetfables/index.html

 

Modélisation de la CompleXité
"
 

Programme européen MCX
"Modélisation de la CompleXité

Association pour la Pensée Complexe

 

 

  Saviez vous que le colibri est sans doute le seul oiseau qui parvienne ‘à entrer sans entrer’ ? Ses ailes non coudées lui permettent, au prix d’un battement d’aile très rapide (80 par seconde), un comportement quasi stationnaire : Ce qui lui permet de se gorger délicatement, à l’aide de son bec pointu, du nectar d’une fleur en évitant de la piquer, en alternant rapprochements et éloignements successifs, ‘conciliant ainsi présence et distance’.  Par cette jolie métaphore s’ouvrent ces ‘Contes et fables’ qui ont cette merveilleuse vertu d’associer librement lecteurs et auteurs, dans l’humaine aventure de la connaissance. Vertu qui manque tant à nos savants traités et manuels de pédagogie, de gestion ou de physique se consacrant à ‘l’imposition irradiante d’un savoir’ (p.13).

            Jeux et enjeux de la métaphore, qu’elle soit analogie, parabole, proverbe ou mythe, génie de la reliance auquel sait si bien s’exercer l’esprit humain qui dispose de cette faculté plus familière qu’étrange ! Le génie d’André de Peretti et de son compère est de rechercher sans cesse ‘ce qui est germinatif, susceptible de pousser au changement sans provoquer des réactions de rejets. Ne pas mettre en marche les réflexes immunitaires et défensif de toute individualité, de toute institution humaine.’ (p.210)

            Ils vont donc nous inviter à explorer en leur compagnie expérimentée ‘ces légers décalages qui puisse surprendre les habitudes …à un moment donné’.  Leurs illustrations seront celles du système scolaire, en s’attachant à illustrer bien des détours ingénieux (l’expression est moins provocante que l’appel explicite à la ruse) qu’ils suggèrent aux enseignants tentant de gérer intelligemment leurs relations avec leurs élèves, leur collègues, leurs responsables  institutionnels et avec ce ‘monstre froid’ qu’est toujours l’Institution scolaire elle-même.

            Mais je crois que les multiples et plaisants contes et fables qu’ils appellent (avec un talent narratif exemplaire et teinté d’humour, ce  qui ne surprendra pas les lecteurs qui furent auparavant auditeurs émerveillés d’André de Peretti) pour illuster le propos, sont aisément « portables » en bien d’autres situations (entreprises, hôpitaux, administrations … ou club sportifs !). Le colibri, la panthère rose, la chouette, la taupe, la mésange, le porc-épic , tout autant que l’écluse , le Sphinx ou ‘l’effet Bunuel’ sont autant de  figures de rhétoriques dont nous avions tous oublié le bon usage … et les bonnes raisons.

            Sans doute parce que nous avions cru, par paresse mentale, par absence d’esprit topico-critique, que les quatre préceptes de la méthode cartésienne pour bien conduire sa raison nous interdisaient de raisonner en  conjoignant des images et en incluant des tiers. Ce qui eut pour conséquence le bannissement des systémiques rhétoriques et topiques de nos programmes scolaires au profit de la seule analytique syllogistique. Mais dire cela à voix haute, n’était ce pas dire devant le roi que le roi était nu ! Les rois n’aiment pas du tout cela.

            C’est ici que l’initiative d’André de Peretti et de F Muller est exemplaire et judicieuse. Ils se gardent bien de clamer publiquement que le roi des programmes scolaires est nu, comme je le fais si naïvement ici ! Ils nous suggèrent en revanche de multiples et forts sages détours rusés, bien argumentés et bien documentés, tirant parti des multiples opportunités que révèle ‘l’épopée socio psychologique de l’Ecole’ (p. 183). En ces temps d’exacerbation de nos média, ces intermèdes dans cette Saga, entre sciences et arts, entre faits et fêtes (p.9), nous sont si bienvenus. Ils avivent joyeusement notre intelligence de la complexité.

            Comme ces occasions ne sont pas fréquentes, profitons en, chemin faisant.

http://www.mcxapc.org/cahier.php?a=display&ID=677

Jean-Louis MOIGNE

LE CAFE PEDAGOGIQUE,

"le sac de plage", juillet 2006

repris dans le flash du 18 sept 2006

repris par CLIS du Rhone

"Il n’y a pas d’enseignement, pas d'apprentissage, encore moins de formation, sans illustration, sans recours aux images (récits analogiques, métaphores malicieusement choisies, références animales empruntées à un bestiaire effrayant. N’en déplaise à certains, il n’a jamais été possible et, il le sera de moins en moins, d’avoir un enseignement fait seulement d’une rationalité, rigide, trop fortement déductive, sans pause imaginative; pour apprendre, les jeunes ont besoin d’avoir leur attention, leur mémorisation, leur logique attirées par de l’image. Ce qui peut nous paraître trop abstraitement clair risque de ne pas leur laisser de repères de mémoire". Il est rare de voir un ouvrage pédagogique se lancer sur le terrain de la fable. C'est pourtant le chemin qu'ont pris André de Peretti, ancien directeur à l'INRP, et François Muller, coordinateur de la mission Innovalo de l'académie de Paris.

Dans l'ouvrage des deux complices, tout n'est donc que détour, allégorie, allusion et imagination. La forme convient bien aux vacances : "il se pourrait qu'il soit malin d'ouvrir l'ouvrage à n'importe quelle page" préviennent les auteurs. Et pourtant le livre aborde les points les plus sérieux du métier d'enseignant et de l'institution éducative.

Ainsi on appréciera cette "visite dans un mystérieux sérail" où se murmurent des paroles bien connues : "Le niveau baisse, le niveau est tombé; ils ne veulent rien savoir…" où chacun reconnaîtra les propos de salles des profs tenus par les conservateurs de l'Ecole. L'ouvrage consacre plusieurs fables aux difficultés de l'évaluation. Ainsi la fable "des animaux républicains" montre qu'elle doit être plurielle et savoir reconnaître les efforts ("on ne fait pas d'effort si l'on n'a pas confiance"). C'est aussi une façon d'aborder la question du socle commun.

La fable du "rat des villes et du rat des champs" montre l'influence de l'environnement sur les résultats des élèves : l'effet Pygmalion, l'effet Rosenthal, l'effet Milgram ou encore l'effet placebo. Le mythe, si français, de la moyenne est lui aussi soumis à critique.

D'autres points sont soumis aux lois de la fable. Ainsi la parabole des porcs-épics nous interroge sur la communication avec les élèves et les collègues. Plusieurs réflexions renvoient aux bases d'une formation renouvelée des enseignants.

Ecrit avec sérieux mais dans un style alerte, de lecture facile, l'ouvrage couvre ainsi les grands enjeux du système éducatif et souscrit aux usages dela fable : il propose aux enseignants une morale. Il trouve toute sa place dans le sac de plage de cet été. "Notre vœu est de toute façon de vous permettre d'envisager votre profession avec esprit et de retirer des arguments métaphoriques ou des illustrations qui pourront intervenir comme intermèdes dans la saga de votre profession". Certaines fables, tel "les chevaux et la chance", ouvriront de façon profitable la réunion de rentrée avec les élèves.

André de Peretti et François Muller, Contes et fables pour l'enseignant moderne, Paris, Hachette Éducation, 2006, 224 pages.

http://www.cafepedagogique.net/index2.php

 

LE SITE DE JACQUES NIMIER

Un livre de deux auteurs bien au fait des difficultés des enseignants et présentant toujours des outils opportuns.

 

L’ouvrage d'André de Peretti et François Muller propose trente récits pour montrer qu il n y a pas d'enseignement, pas d’apprentissage, pas de formation, sans illustration. Pour les formateurs tout spécialement, l'approche analogique, voire métaphorique, est une manière de décoder des réalités complexes. Ce livre leur est dédié tout spécialement.

http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=24052

Découvrez la présentation et des extraits de cet ouvrage sur le site de F.Muller. Une lecture recommandée à tous les enseignants et formateurs "modernes". Une excellente façon de se détendre tout en préparant la rentrée !
Cet ouvrage CONTES ET FABLES POUR L'ENSEIGNANT MODERNE, André de Peretti, François Muller, éd. Hachette Éducation, mai 2006. est présenté sur le site de François Muller, auteur de plusieurs sites déjà signalés Le détour par le conte, la métaphore et les images que nous proposent les auteurs, nous permet de nous poser et d'aborder des questions importantes, parfois graves, de l'éducation et de la formation, de façon plutôt inattendue et amusante. A travers trente récits les auteurs nus démontrent qu'il n y a pas d'enseignement, pas d'apprentissage, pas de formation, sans illustration. Sur le site, les auteurs nous livrent quelques extraits de leur ouvrage et nous donnent envie d'en découvrir davantage. Profitez d'une visite sur le site de François Muller pour découvrir les références, les techniques et fiches pédagogiques proposées.

Site des Lettres de l'académie de Paris

Nos collègues de Paris publient...

Contes et fables pour l'enseignement moderne
Auteurs : André De Peretti, et François Muller, coordonnateur de la mission académique Innovation et Expérimentation (INNOVALO) de Paris

Le détour par le conte et l'imagerie permet d'aborder des questions importantes, parfois graves, de l'éducation et de la formation, de façon attrayante. Cet ouvrage propose trente récits pour montrer qu'il n'y a pas d'enseignement, pas d'apprentissage, pas de formation, sans illustration.

formaticsante.com
Réseau d'échanges et formations en ligne pour les professionnels de santé
ouvrage co-écrit par André De Peretti et François Muller, deux générations d'enseignants chercheurs qui partagent la même passion et nous proposent à travers 30 récits à partir de métaphores et d'allégories, une façon originale de nous interroger ou nous réinterroger sur nos pratiques d'enseignant et de formateurs.

Ils nous offrent sur le site http://francois.muller.free.fr/contes/index.htm quelques extraits de leur ouvrage que vous aurez sans doute envie de lire en entier :
Contes et fables pour l'enseignant moderne
André de Peretti, François Muller,
Edition Hachette Éducation, mai 2006

Ne refermez pas le site sans avoir explorer les autres ouvrages écrits par ces auteurs et les fiches pédagogiques proposées en ligne.
28 juin 2006

Découvrez la présentation et des extraits de cet ouvrage sur le site de F.Muller. Une lecture recommandée à tous les enseignants et formateurs "modernes". Une excellente façon de se détendre tout en préparant la rentrée !

Cet ouvrage CONTES ET FABLES POUR L'ENSEIGNANT MODERNE, André de Peretti, François Muller, éd. Hachette Éducation, mai 2006. est présenté sur le site de François Muller, auteur de plusieurs sites déjà signalés Le détour par le conte, la métaphore et les images que nous proposent les auteurs, nous permet de nous poser et d'aborder des questions importantes, parfois graves, de l'éducation et de la formation, de façon plutôt inattendue et amusante.

 A travers trente récits les auteurs nus démontrent qu'il n y a pas d'enseignement, pas d'apprentissage, pas de formation, sans illustration. Sur le site, les auteurs nous livrent quelques extraits de leur ouvrage et nous donnent envie d'en découvrir davantage.

Profitez d'une visite sur le site de François Muller pour découvrir les références, les techniques et fiches pédagogiques proposées. en savoir plus

 

 FORMATIC 2000

Québec

Littérature francophone  /  Numéro 185
http://pages.infinit.net/cltr/littfr.html
 
Le livre d'or /  Le 13 mai 2006
http://pages.infinit.net/cltr/livredor2006.html
 
Le courrier pédagogique  /  Message 1945
http://fr.groups.yahoo.com/group/courrierpedago/message/1945